Kabubu favorise l'inclusion des personnes exilées grâce au sport.

kabubu - photo siite Fondation de France

Kabubu favorise l'inclusion des personnes exilées grâce au sport.

Avec des activités sportives gratuites et inclusives.

Nous sommes

Kabubu est une association fondée le 31 janvier 2018 lors d’un atelier sur l’héritage des Jeux Olympiques de Paris 2024. Son nom, tiré du swahili, signifie « l’amitié par le sport » et reflète sa mission : favoriser l’inclusion sociale et professionnelle des personnes exilées grâce au sport.

Kabubu représente un état d’esprit favorisé par les rencontres et l’amitié, se nouant autour de la pratique sportive. Créé suite à des rencontres inspirantes et de réflexions sur l’héritage des Jeux de Paris 2024, ses actions n'ont depuis cessé de se développer. Kabubu est présent à Paris, à Lyon et à Strasbourg.


Le Projet

L'association organise des activités sportives gratuites et inclusives pour créer du lien entre personnes locales et exilées. Elle propose également des programmes de formation professionnelle, comme le programme FIT pour devenir animateur sportif ou le programme Splash pour former des sauveteurs aquatiques.

Kabubu cible aussi des publics spécifiques, notamment avec le projet « Potenti’elles », destiné à l’intégration des femmes réfugiées

Depuis sa création, Kabubu s’est développée avec des antennes à Paris, Lyon et Strasbourg, impactant plus de 2 400 participants en 2022.

Outils et Méthodes

Kabubu soutient l'inclusion sociale des personnes exilées principalement à travers le sport, un outil universel et fédérateur.

Kabubu organise des séances gratuites et ouvertes à tous, comme le football, le yoga, la boxe ou la course à pied, à Paris, Lyon et Strasbourg.

Ces activités créent des liens entre personnes locales et exilées tout en luttant contre l'isolement et les préjugés.

Programmes spécifiques pour les femmes : Le programme "Potenti’elles" propose des activités sportives 100 % féminines pour favoriser l’inclusion des femmes exilées, souvent confrontées à des barrières culturelles ou personnelles.

Formation professionnelle : Kabubu forme les personnes exilées à des métiers dans le domaine sportif, comme animateur ou surveillant de baignade, facilitant ainsi leur insertion professionnelle

Sensibilisation : L'association mène des actions pour déconstruire les préjugés sur la migration auprès du grand public et des acteurs du sport et de l’éducation

  • Activités sportives inclusives : Sessions gratuites et accessibles à tous, organisées à Paris, Lyon et Strasbourg, pour créer des liens entre populations locales et exilées (football, yoga, escalade, etc.).
  • Organisme de formation : Programmes adaptés pour former les personnes exilées à des métiers sportifs (arbitre, surveillant de baignade, animateur sportif), incluant des cours de langue et un accompagnement social.
  • Projet Ambassad’or : Formation pour devenir bénévole dans le domaine sportif et organiser des événements sportifs.
  • Fresque de la migration : Outil pédagogique pour sensibiliser le public aux parcours des personnes migrantes.

Ces initiatives favorisent la confiance en soi, la mixité sociale et l'inclusion professionnelle.

OUTILS DE MESURE D'IMPACT

Kabubu évalue l'impact de ses programmes à travers une démarche structurée et des outils spécifiques :

  • Indicateurs communs : L'association utilise des indicateurs standardisés pour mesurer les résultats de ses différents programmes, ce qui permet d'agréger les données et de suivre des objectifs constants comme l'amélioration du lien social, des compétences linguistiques et professionnelles, ainsi que du bien-être mental et physique.
  • Plateforme Impact Track : Cet outil professionnel aide Kabubu à systématiser la mesure d'impact et à collecter des retours qualitatifs et quantitatifs des participants, notamment sur leur progression sociale et professionnelle à court et long terme.
  • Retours des participants : Les bénéficiaires partagent leurs ressentis sur les activités, ce qui permet d'identifier les réussites (comme le gain de confiance ou l'amélioration du français) et d'ajuster les programmes en fonction des besoins exprimés.
  • Dialogue avec les financeurs : Les données d'impact servent également à engager un dialogue constructif avec les financeurs, en mettant en avant les résultats à long terme souvent ignorés dans les évaluations classiques.

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