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Arbitres cyberharcelès !

Stéphanie Frappart, 1ère femme à arbitrer un match de Coupe du monde masculine (Photo l'Humanité)

"Je dis à mes proches de ne pas publier sur Facebook des photos où on les voit  en ma compagnie. Pour pas qu'on leur tombe dessus le jour où je me plante sur le terrain ". Ces propos d'un arbitre de football qui officie en Ligue 1 sont lourds de sous-entendus. Les arbitres avouent se cacher derrière des pseudos sur les réseaux sociaux  ou tout simplement ne pas posséder de compte. Seule femme à officier dans l'Élite du foot, Stephanie Frappart est dans ce second cas. C'est un sujet pris très au sérieux, on suit en permanence les réseaux sociaux, et on y voit tous les jours des personnes qui s'en prennent aux arbitres, déplore le délégué général du Syndicat des arbitres de football d'élite (SAGE), Jose Diaz. On essaie de faire bouclier et d'atténuer les attaques sur nous plutôt que sur les arbitres, mais quand on voit que cela va trop loin, que les adresses commencent à être divulguées et que les menaces deviennent explicites, on saisit la justice.

7 dossiers judiciaires contre des internautes qui ont pris a partie des sifflets professionnels sont suivis actuellement par le Syndicat. Les arbitres de Ligue 1, exposés par la popularité de leur sport ont dû apprendre à composer avec les réseaux sociaux.

Même situation dans le Top 14, l’élite du rugby français, où les arbitres doivent également supprimer des mois et des mois de messages d’insultes adressés via Instagram, Facebook ou X (ex-Twitter) par des supporters remontés. Ici à cause d’une pénalité sifflée à tort à leurs yeux, là pour un carton jaune adressé à leur joueur favori. Triste situation qui risque d'empirer !

(sources "Le Parisien et L'Humanité")

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